QUESTIONNAIRE DE PROUST CINÉMATOGRAPHIQUE | Elodie Martin
1- Plaisir inavouable : Ever After, d’Andy Tennant (que j’assume sans rougir pour sa dépeinte de l’amour d’une fille pour son père… et pour avoir fait de Leonard de Vinci une Marraine La Bonne Fée).
2- Classique ennuyeux : 2001 : A Space Odyssey, de Stanley Kubrick (ce n’est simplement pas ma tasse de thé).
3- Adoré à l’adolescence puis abandonné : La trilogie des Sissi, de Ernst Marischka (Luchino Visconti a tout fait voler en éclats avec son Ludwig…)
4- Chef d’œuvre méconnu : Le miracle de Berne, de Sönke Wortmann. Ou plutôt un coup au cœur, jamais désavoué, et dont je continue assidûment la promotion.
5- Navet génial : Deep Blue Sea, de Renny Harlin. Pour ses références à Jaws et ses rebondissements abracadabrantesques – qu’il serait criminel de spoiler.
6- Film détestable : (L’ignoble) À bras ouverts, de Philippe de Chauveron.
7- Pleurer à chaque fois : Ghost, de Jerry Zucker. Et ce plus encore depuis la disparition de Patrick Swayze.
8- Mourir de rire à chaque fois : Le dîner de cons, de Francis Weber. Le rire de Francis Huster est contagieux.
9- Être émoustillée à chaque fois : Comment ne pas frissonner devant les inoubliables vitres embuées de la Renaud Coupé de Ville 1912 dans Titanic…
10- Me ferait (presque) virer ma cuti : Emma Stone. Brune, blonde, et surtout rousse.
11- Cahiers du Cinéma, Positif ou ni l’un ni l’autre : Ni l’un, ni l’autre.
12- Cinéaste trop vanté : Martin Scorsese.
13- Sainte trinité : Alfred Hitchcock, Baz Luhrmann, Fritz Lang.
14- Entrée en cinéphilie : Romeo + Juliet, de Baz Luhrmann. Je n’arrive plus à voir un balcon sans piscine.
15 – Panthéon du cinéma : Romeo + Juliet, La main au collet, La vita è bella, Alien, Le miracle de Berne, M le maudit.